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Tout sur l'endométriose

Le 09/03/2019

 

Tout sur l endometriose 2

Un livre sur l'endométriose écrit par le Dr SAUVANET(chirurgien gynécologue), le Dr PETIT (radiologue) et le Dr LHUILLERY (médecin de la douleur), spécialistes de l'endométriose et de l'adénomyose.

Ce livre est passionnant, facile d'accès, claire, précis !! Enfin un livre qui correspond aux attentes des femmes atteintes d'endométriose !

Vous y trouverez toutes les réponses aux questions que vous vous posez :

• Quels sont les signes qui doivent alerter ?

• Qui consulter ?

• Comment obtenir un diagnostic fiable ?

• Quels sont les médicaments qui marchent ?

• Quand faut-il se faire opérer ?

• Les médecines alternatives ?

• Sport, Aimentation, sexualité, Sommeil?

 

Vous trouverez ci-dessous le live (infos, réponses) lors de la dédicace du livre :

 

Bonne écoute et bonne lecture

 

LES OBLIGATIONS DE L'EMPLOYEUR CONCERNANT LES RISQUES PSYCHOSOCIAUX

Le 20/03/2018

 

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L’article L.4121-1 du code du travail indique que l’employeur doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale de ses salariés.

De plus la cour de cassation considère qu’il s’agit également pour l’employeur d’une obligatoire de sécurité de résultats.

 

L’employeur doit intégré dans son processus de décision et d’organisation, les principes de prévention de la santé mentale et physique afin : 

Eviter les risques 

Evaluer les risques qui ne peuvent être éviter

Combattre les risques à la source

Adapter le travail à l’homme

Tenir compte de l’état d’évolution technique 

Remplacer le dangereux par du non dangereux 

Planifier la prévention tel que prévu dans l’article L.1152-1 du Code du travail (organisation du travail, les conditions du travail, les relations sociales et l’influence des facteurs ambiants

Prendre des mesures de protection collective 

Donner des instructions appropriées aux salariés 

 

Les trois niveaux de prévoyance sont :

  • Le niveau primaire : éliminer les sources de risques spychosociaux (formation de sensibilisation, campagnes de communication). Ce niveau est le plus efficace et facile à réaliser, 
  • Le niveau secondaire : aider les salariés à faire face aux situations de travail à risque identifiées (sensibilisation au tress...),
  • Le niveau tertiaire : aider les salariés déjà en difficulté (assistance psychologique...) malheureusement, c’est aujourd’hui le niveau le plus répandu.

Le document unique sert à l’élaboration du programme annuel de prévention des risques professionnels, il fixe la liste détaillée des mesures à prendre au cours de l’année à venir en matière de protection des salariés et d’amélioration des conditions de travail normal en lien avec la santé mentales des salariés.

Il est tenu à la disposition du médecin du travail, des salariés, du CHSCT et l’inspection du travail, des agents des services de prévention des organismes de Sécurité sociale.

Dans chaque entreprise, il est important également d’intégrer les risques psychosociaux dans le document unique (sert à l’élaboration du programme annuel de prévention des risques professionnels et est tenu à la disposition du médecin du travail, des salariés, du CHSCT et l’inspection du travail, des agents des services de prévention des organismes de Sécurité sociale) la première étape étant d’évaluer les risques.

L’évaluation se fera par l’inventaire des risques identifiés dans chaque unité de travail, des sources d’informations disponibles dans l’entreprise (analyse des risques par le CHSCT, fiche d’entreprise établit par le SST)

L’employeur doit communiquer aux salariés les risques liès à leur santé physique et mentale ainsi qu’à leur sécurité, en mentionnant les modalités d’accès au document unique, les mesures de prévention des risques identifiés et le rôle du servicd de santé au travail.

Cette information doit être compréhensible de chacun, elle est dispensée pendant l’embauche et à chaque fois que cela est nécessaire.

Le cas échéant les dispositions contenues fans le règlement intérieur relatives à la sécurité et aux conditions de travail.

L’employeur désigne un ou des salarié (s) compétent(s) pour s’occuper des activités de protection et de prévention des risques professionnels de l’entreprise. Ces salariés sont formés en maturité de santé au travail, sont désignés après avis du CHSCT ou à défaut des DPs. Ils disposent du temps nécessaire et des moyens requis pour exercer leurs missions.

A défaut l’entreprise peut faire appel au IPRP (personne physique ou morale dotée de compétences techniques, organisationnelles ou médicales) appartenant à son service santé au travail ou après de la dirrecte ou encore aux services de prévention des caisses d’allocations familiales et en fin à l’ANACT.

 

 

 

 

S'accorder une pause tout en se détendant avec la bonne respiration

Le 10/03/2018

 

De nos jours, nos journées sont longues et épuisantes...nous rêvons secrêtement d'avoir la capacité de nous dédoubler voir tripler ....afin , sans aucun doute, s'accorder un peu de temps à soi....Mais cette petite pause peut être inclue dans vos activités quotidiennes...

Alors comment faire ?

Choissisez une activité :

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Puis renforçez ce moment en inspirant en gonflant le ventre puis la poitrine et soufflez doucement comme dans une paille... la détente et le calme apparaitront ;0)

 

 

COMMENT PRÉVENIR LES RISQUES PSYCHOSOCIAUX GRÂCE À LA SOPHROLOGIE

Le 19/02/2018

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La sophrologie va permettre de créer une parenthèse dans la souffrance vécue par le salarié afin que ce dernier puisse réinvestir son corps pour redresser la barre.

 

Pour rappel les manifestations des RPS

Les manifestations des RPS vont se traduire,

Du côté de l’entreprise, par :

Un absentéisme plus important,

Une fréquence accrue d’accidents ou d’incidents sur la chaine de production, d’où une productivité en baisse et une qualité de produit également en baisse, le travail étant pris avec moins de rigueur, 

Un climat social plus tendu.

Remédier à cette situation ne peut être que positif sur le plan économique.

Du côté du salarié les symptômes des RPS vont se manifester notamment par :

Des troubles du sommeil,

De l’irritabilité,

Une tension physique pouvant aller vers des troubles musculo-squelettiques (TMS),

Des maux de têtes importants,

Une perturbation de l’appétit,

Perte de mémoire immédiate,

Audition......

La soprologie n’est pas là pour travailler sur les causes, il est nécessaire de replacer l’individu en son centre et ce, que les causes soient internes ou externes au monde du travail.

La personne en souffrance a la sensation de subir la situation vécue sans moyen de stopper les vagues qui la submergent. De plus, elle ne se reconnaît plus, elle est totalement déstabilisée....

Le but immédiat est d’arrêter ces déferlantes et de reprendre un tant soit peu la maitrise du gouvernail, de sa vie.

La sophrologie va permettre de créer un espace et un moment, une parenthèse où le phénomène négatif est expulsé pour laisser place à la prise de conscience de soi. Il est nécessaire de réinvestir son corps (Vivances des 5 sens et des valeurs) pour pouvoir peser sur les choses, sur les leviers à actionner pour redresser la barre. Reprendre contact avec le corps vécu, le corps conscientisé. Renforcer la confiance en soi qui s’est peu à peu envolée en même temps que le corps se dématérialisait et se retirait pour ne plus se vivre que dans la souffrance. Recouvrir une forme de plaisir dans le ressenti.

Ce moment ressource que procure la sophrologie va ensuite permettre l’analyse de la situation et le pourquoi suis-je là.

Quel que soit le mal être, le sujet est toujours présent et il y a donc possibilité de réorienter vers le pôle positif. C’est en s’appuyant sur ce corps respirant, même difficilement, qu’il est possible de construire sainement.

Par la sophrologie la personne va reprendre corps et la notion de densité de soi va croître. Le salarié va reprendre de la consistance et réinvestir son potentiel, apprendre à se redresser physiquement pour s’axer mentalement et ressentir son équilibre stable par la force de ses appuis, de son ancrage.

En parallèle, la décision de garder cet axe et donc « comment je suis là et comment je maintiens ? », va arriver rapidement.

L ‘approche sophrologique pourra se faire de concert en séance individuelle et en collectif avec l’équipe de collaborateurs, avec la médecine du travail. Un temps de parole amène à une analyse de poste, à l’organisation de la communication interne, à l’adaptation des compétences, l’exigence et la capacité à répondre, etc.

En replaçant l’individu en son centre c’est à dire dans son corps il se sent être d’abord par lui-même. De là, le désir de performer dans son travail peut être envisagé et renforcé. Le travail devient un outil de réalisation de soi et non pas une réalisation de soi-même.

 

Dans Sorties

Sophrologie

Le 17/02/2017

10 conseils pour mieux gérer le stress

 

1. Marquez des pauses dans la journée

Posez-vous tout simplement, changez de rythme, changez d’activité, cessez de vous presser.
Étirez-vous et détendez-vous. Se relaxer permet d’abaisser le niveau d’anxiété ; si le corps est relâché, le mental lui aussi s’apaise. Concentrez-vous sur vos sensations internes, entraînez-vous à découvrir ce qui vous procure paix et tranquillité intérieures. La relaxation régénère et favorise le contact avec soi-même.

2. Mangez calmement

Réservez-vous une vraie pause déjeuner, évitez café, excitants et plats en sauce. Posez vos couverts régulièrement, prenez conscience des goûts, saveurs et odeurs des aliments que vous mangez, dégustez-les, soyez à l’écoute de vos sensations, c’est précisément en les occultant que vous mangez sans tenir compte de vos besoins réels.

3. Reprenez contact avec votre corps

Écoutez ce qui se passe en vous. Votre corps vous envoie des messages et des SOS lorsqu’il est épuisé. Seule la vigilance évite de se laisser submerger par le stress. On attend souvent d’avoir des contractures dans les épaules, en d’autres termes d’« en avoir plein le dos », pour s’autoriser du repos. Si vous travaillez sur ordinateur ou si vous effectuez une tâche difficile, arrêtez-vous toutes les heures en vous détournant quelques instants de votre activité et pratiquez l’exercice suivant :
Fermez les yeux, relâchez les muscles du visage, desserrez la mâchoire. Placez le bout des doigts sur votre front et, par de tout petits mouvements circulaires, sans soulever les doigts, massez doucement le contour de vos yeux. Répétez l’exercice plusieurs fois en tournant dans un sens, puis dans l’autre.

4. Pratiquez une activité physique

L’exercice physique est un excellent exutoire et la seule façon d’augmenter durablement les dépenses. Il neutralise le trop-plein d’énergie et évacue les pulsions agressives et les tensions.
Accordez-vous chaque jour quelques minutes pour pratiquer une activité physique. Délaissez de temps en temps votre voiture et marchez Marcher est l’une des activités les plus faciles à intégrer dans votre programme. La marche peut se pratiquer à tout moment, favorisez ces moments : effectuez par exemple le tour de votre quartier à petites foulées, descendez du bus ou du métro une ou deux stations avant la vôtre et regagnez votre domicile à pied.
Les petites marches régulières vous aideront à tonifier votre corps et à développer progressivement votre endurance pour prévoir de plus grandes promenades. Lorsque vous cheminez, prenez conscience des pas que vous alignez les uns après les autres, engagez tout votre corps dans le mouvement, ressentez les articulations mises en jeu, sentez vos pieds se poser dans le sol, se dérouler du talon aux orteils, vous aurez ainsi plus d’aisance dans votre allure. Regardez autour de vous, devant vous, en portant votre regard vers l’horizon, on se sent plus présents à la vie quand le regard accompagne la marche.

5. Programmez régulièrement une journée anti-stress

Pour éviter de vous laisser envahir par des « voleurs de temps », fixez la date d’une journée anti-stress dès aujourd’hui. Comment la concevez-vous ? Notez vos réflexions et vos idées dans votre journal de bord. Certaines personnes préfèrent s’isoler, faire silence, partir en randonnée, se prélasser au soleil, rester chez elles pour lire et écouter de la musique, d’autres penchent pour le shopping, le cinéma, une sortie entre amis, etc. Choisissez la solution qui vous convient le mieux. Toutes les techniques anti-stress ont un dénominateur commun :
l’abaissement des tensions psychiques et musculaires.

6. Apprenez à respirer

Lors d’un stress, la réaction première est de retenir son souffle. Pour éviter de ressentir, on a tendance à serrer le ventre. Mais on bloque ainsi toutes les fonctions vitales : la respiration devient plus rapide, haute, thoracique, le souffle est comme coupé. Une bonne respiration permet de réguler toutes les fonctions de l’organisme, l’énergie circule partout. La respiration constitue, à elle seule, une technique anti-stress par excellence ; elle agit de façon très positive sur les problèmes liés au poids. Lorsque le corps est insuffisamment oxygéné, le sang élimine mal les toxines et celles-ci se fixent dans les tissus en les gonflant ou encore fabriquent de la cellulite.
Comment vous entraîner à bien respirer ? Installez-vous confortablement. Relâchez la mâchoire, détendez les épaules. Inspirez doucement en gonflant le ventre, expirez doucement par la bouche en le rentrant. L’expiration est plus longue que l’inspiration. En soufflant par la bouche, imaginez que vous éloignez en même temps soucis, problèmes et contrariétés.
Chaque fois que vous êtes confronté à une difficulté, utilisez cette technique. En respirant consciemment, vous apprendrez à prendre de la distance avec la situation qui vous préoccupe.
Symboliquement, à l’aide du souffle, imaginez que vous rejetez hors de vous tout ce qui est nuisible à votre harmonie.
La respiration abdominale est un acte conscient, qui agit sur les tensions et les contractures défensives provoquées par le stress.

7. Cultivez la patience

Profitez de toutes les situations d’attente où votre patience est mise à rude épreuve. Au lieu de subir, de pester et soupirer, tirez-en parti. Par exemple, dans une file d’attente (poste, bus, guichets, etc.), appliquez la consigne : « Attente = Détente » et respirez avec votre abdomen.

8. Éliminez les tensions physiques et psychiques

Entraînez-vous à pratiquer l’exercice suivant : en position assise, le dos bien droit, inspirez par le nez, tendez au maximum vos bras et vos jambes, serrez vos poings, contractez et serrez fortement les bras, les poings, les jambes, puis relâchez en expirant lentement. Prenez conscience de la détente que vous installez. Recommencez cet exercice de temps en temps.

9. Pratiquez une technique dynamique d’évacuation du stress

Trop stressées, certaines personnes se trouvent dans l’incapacité de se détendre en utilisant une technique de relaxation statique, c’est-à-dire en position allongée. Une technique « dynamique », où tout le corps est en tension, leur conviendra davantage. Elle permet d’augmenter les tensions corporelles pour ensuite les relâcher et prendre conscience de la détente ainsi obtenue.
En position assise, inspirez par le nez en levant lentement les bras vers le ciel, mains croisées, paumes des mains dirigées vers le haut. Tout en tendant les bras, retenez votre souffle en vous étirant. Puis abaissez les bras en expirant lentement. Relâchez, détendez tout votre corps.
Répétez l’exercice encore deux fois. Tous les muscles sont relâchés, le cerveau est irrigué, la détente s’installe.

10. Testez cet exercice de sophrologie

Installez-vous confortablement et arrangez-vous pour être au calme. Fermez les yeux et songez à un endroit qui vous calme, un paysage de mer, un grand espace verdiyant etc.... Imaginez cet endroit et retrouvez les couleurs, les odeurs, les sons liés à ce paysage. Prenez bien le temps de ressentir dans votre corps et dans votre mental l’impression de calme de ce lieu.